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« Ce qui n’est qu’à nous deux »

Monique Saint-Hélier Jean Rodolphe de Salis

24.00 CHF

Ventre(s)

Louise De Bergh

30.00 CHF

Bio dégradable

Sonia Menoud

24.00 CHF

Trognes

Xochitl Borel

24.00 CHF

Gravé au diamant

Anne Cuneo

15.00 CHF

L’Esprit d’un homme

Jon Ferguson

27.00 CHF

La Chaussure rouge

Raymond Delley

30.00 CHF

Rencontre à La Boisserie

Christophe Gaillard

25.00 CHF

Heidelberg, en été

Madeleine Knecht-Zimmermann

30.00 CHF

Bleu comme une femme

Alexandre Pierre Albert

33.00 CHF

Agnus Dei

Julien Sansonnens

20.00 CHF

Vie imaginaire de Cornelius G.

Marie Perny

20.00 CHF

Plein Sud

Quentin Dallorme

24.00 CHF

La glorieuse imposture

Christophe Gaillard

33.00 CHF

Le chant d’Artsakh

Michel Petrossian

25.00 CHF

Les Quatre Sœurs Berger

Alice Bottarelli

25.00 CHF

La Vie suprême

Alain Bagnoud

25.00 CHF

L’enfants aux étoiles

Julien Sansonnens

30.00 CHF

Oostduinkerke

Claire May

22.50 CHF

Sur la chapelle

Adrien Bürki

20.00 CHF

Percussions

Matthieu Ruf

25.00 CHF

Les Radieux

Marie Penny

27.00 CHF

« Ce qui n’est qu’à nous deux »

Monique Saint-Hélier   Jean Rodolphe de Salis

24,00 CHF

Poésie

Georges Nicole

26,00 CHF

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Les médias en parlent…

Francis Richard partage une note de lecture du dernier roman de Raymond Delley, La Chaussure rouge, sur son blog. À travers ses lignes, il salue le personnage résolument fin de ce roman policier, catapulté dans une ancienne affaire par l’apparition d’une mystérieuse chaussure rouge : « Peut-être est-il [l’inspecteur Gachet] parvenu, en quelque sorte, à cet idéal rare auquel tout bel esprit devrait tendre et dont Blaise Pascal était l’illustration implicite: être à la fois géomètre et fin, ce qui, par les temps qui courent, ne se rencontre guère dans l’espèce dite humaine ».

Valérie Debieux rend un bel hommage à L’Avancée en âge de Marianna Gawrysiak sur son blog La Galerie littéraire. Dans cet ouvrage, la gérontopsychologue propose un double regard sur la vieillesse qui semble être la sagesse même : savoir l’accepter telle qu’elle se présente, consentir à ses écueils, à ses accrocs, à ses épines ; mais aussi, et en même temps, rester en éveil devant ses atouts, ses richesses, et même ses émerveillements. Élogieuse, Valérie Debieux relève la sensibilité rare avec laquelle Marianna Gawrysiak « explore les contours de la vieillesse et invite le lecteur à franchir l’odyssée de l’âge avançant, à regarder l’avenir avec sérénité, à embrasser chaque instant avec gratitude et à cultiver la beauté d’une existence pleinement vécue, même lorsque le temps fait son œuvre ».

Le 14 mai, Kévin Ramirez, dans le journal La Région, explorait la genèse du premier ouvrage de Cyril Broye, La Mélancolie des Libellules. Le roman relate l’histoire de quatre jeunes gens perdus qui, à différentes époques, se retrouvent piégés dans une solitude profonde de laquelle ils tentent de s’extraire. Comme des libellules, symbole de transformation, James, Alba, Liokha et Oscar tentent de survivre, « jusqu’à risquer de se perdre dans les eaux troubles mais rassurantes de la mélancolie ». Des choix habiles et une plume sensible caractérisent le premier roman de Cyril Broye, ce qui n’a pas échappé à Kévin Ramirez.

Lisbeth Koutchoumoff consacre une belle critique dans Le Temps au dernier ouvrage de Philippe Dubath intitulé Les Coquelicots après la pluie. De ce récit de réminiscences à partir de cartes postales ou de photos, la journaliste salue la finesse des portraits : « Pour cette archéologie d’un quotidien enfoui, Philippe Dubath excelle dans l’art du portrait, cette façon de donner vie aux êtres jusque dans leur vibration, leur lumière ».


Dans une interview accordée à Assumag le 23 mai, Philippe Dubath raconte les origines de son ouvrage Les chardons bleus, né d’une longue amitié avec le fondateur de La Saletta – charmante buvette sise aux Paccots, offrant une vue panoramique sur la Dent-de-Lys, le Plateau et le Jura. Dans cet entretien, mené par Stefanie Rossier, le lecteur y apprend aussi les inspirations littéraires de l’auteur, son rapport à l’écriture, ses projets en cours.

À l’âge de dix-neuf ans, le jeune Henri Debluë observait avec anxiété les fumeroles qui s’échappaient de la région de Saint-Gingolph. C’était en juillet 1944. D’une langue limpide, Henri Debluë laisse un témoignage unique sur ce moment de l’Histoire dans Et Saint-Gingolph brûlait, réédité aux éditions de l’Aire en 2023. Thibaut Kaeser en relate la puissance dans le numéro 13-14 d’Écho magazine, qualifiant le livre de « texte important de la bibliothèque sur la Suisse durant la Deuxième Guerre mondiale ».
Samedi 2 mars, Julien Sansonnens participait à l’émission La Librairie francophone sur France Inter et la RTS, pour son récent ouvrage Agnus Dei. Pour cette émission, Julien Sansonnens était en compagnie de Mourad Boujellal, Martine Lagardette et Viktor Lazlo.

Caroline Rieder se penche sur le dernier ouvrage de Julien Sansonnens dans un article paru le 1er mars dans le 24 Heures. Agnus Dei raconte un crime oublié, survenu à la fin des années 40 dans la Broye fribourgeoise : un forgeron du village de Gletterens tuait sa femme d’un coup de marteau. Caroline Rieder relève la façon dont l’auteur « brosse, d’une plume vive et précise », le climat social et politique de la Broye campagnarde de cette époque, où il fait « ressurgir avec force ce monde fruste en proie à la pauvreté, et aux désirs contrariés par le poids des Évangiles ».

Début février, Julie Seuret consacrait, dans le magazine Le Quotidien Jurassien, un article à Marges d’une vie de Renato Salvi : « En nous emmenant dans ses marges, dans sa sphère intime, Renato Salvi nous donne à toucher ce qui lui-même l’a touché et forme ainsi une chaîne sensible et délicate, formée d’art bien sûr, mais aussi de rencontres et d’observations […]. Ainsi lire Marges d’une vie c’est faire une pause dans une vie effrénée, s’extraire du monde tout en l’embrassant à pleine bouche, oser une balade le nez en l’air : “Prenez vos crayons, et vous aussi écrivez dans vos marges, écrivez vos marges”. »

Le magazine hebdomadaire Famille chrétienne consacre deux pages au dernier ouvrage de Christophe Gaillard, Rencontre à la Boisserie, sous forme d’entretien avec l’auteur. Ce roman relate la rencontre entre le général de Gaulle et Bernanos, qui eut lieu le 5 décembre 1946 à Colombey-les-Deux-Églises. Un article signé Diane Gautret, particulièrement élogieux à propos de l’œuvre : « Ce récit captivant, écrit dans une prose somptueuse, compose une ode magnifique à ce cher pays de France, qui donna tant de fil à retordre à ces deux géants. Un bonheur de lecture. »

Arc info a consacré le 28 septembre dernier un bel article à Gilbert Pingeon, qui était présent à la première édition du Salon des éditeurs neuchâtelois où il dédicaçait son dernier recueil de nouvelles, Ligne 19. Dans ces récits, « il a trouvé la petite musique qui donne le ton et la couleur de cet ouvrage (…). Les solitudes [s’y] déploient au rythme de monologues et de soliloques (…). Gilbert Pingeon montre surtout qu’il garde intact son goût du rythme et d’une écriture au scalpel ».

Dans Le Matin-Dimanche (édition du 10 septembre 2023), Michel Audétat s’est penché sur le dernier recueil de nouvelles d’Alain Campiotti, intitulé Crime au col. Il note: « L’auteur change de masque, mais demeure dans les mêmes teintes crépusculaires et mélancoliques dont on découvre en marchant le subtil dégradé ». Le journal Le Courrier du 29 septembre s’est aussi intéressé à ce livre et signale que « les textes sont portés par une langue élégante, qui tiennent captifs et ménagent leur chute ». Enfin, Francis Richard consacre lui aussi sur son blog une belle recension.

Benjamin Chaix a consacré un article dans la Tribune de Genève au recueil de nouvelles de Jean-François Berger, Frappes courtes. S’inspirant de ses expériences passées au service du CICR, écrit-il, «Jean-François Berger s’en empare pour animer de petits contes à la saveur du vécu, enjolivés par son imagination et sa plume».

La parution du livre d’entretiens entre Alexandre Adler et Jean-Christophe Aeschlimann, ainsi que la disparition du premier ont sucité deux articles importants, l’un dans le Journal du Jura, l’autre dans Bon pour la tête. Ces deux articles rendent hommage à Adler, récemment disparu, et saluent son érudition. Jacques Pilet écrit: «Ouvrage écrit  recommandé pour le massage des neurones historiques. Adler et son partenaire, fort érudit aussi, nous font parcourir le XXe siècle, le début du XXIe, guettant les moments-clés, les tournants, les surprises, les personnages phares. Un peu rapide, léger parfois, mais diablement stimulant.»

Plusieurs articles ont été consacrés au roman de Romain Debluë,  La Chasse au cerf. L’un par Michel Audétat dans Le Matin dimanche du 21 mai 2023, l’autre par Elie Colin sur le site L’Incorrect. Cette dernière écrit: « L’auteur renoue avec le roman d’initiation et y déploie une langue magnifique pour nous offrir une véritable symphonie littéraire. »

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«Les chats ont de la veine:
l’obscurité ne les empêche pas de lire.»
Louis Scutenaire

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Traité de Lausanne 1923

Centenaire du Traité de Lausanne

Il y a bientôt cent ans a été signé le Traité de Lausanne (24 juillet 1923), qui a consacré la naissance de la Turquie moderne, en même temps qu’il enterrait les aspirations des peuples arménien et kurde. En 2014, le texte intégral du traité a été publié aux Éditions de l’Aire, avec une introduction et des commentaires de Sylvie Arsever. A lire absolument !

 

Prix: 36.00 CHF

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