Les médias en parlent

La Liberté du 26 novembre 2022, sous la plume d’Aurélie Lebreau, a consacré un bel article à l’artiste fribourgeois Hafis Bertschinger et au livre Planète Hafis: 66 ans de sculpture, qui vient de paraître. «Porté par la fondation Hafis et Mara Bertschinger et son président Jean-Robert Gisler, par le photographe Yves Eigenmann, la graphiste Chantal Esseiva et l’historien de l’art Walter Tschopp, cet ouvrage présente une  centaine de sculptures d’Hafis et offre une belle porte d’entrée sur le parcours hors normes de cet homme né en 1933.»

Marianna Gawrysiak a été invitée par Jean-Marc Richard dans l’émission «La Ligne de coeur», sur la RTS, pour parler avec d’autres intervenants de la question de la vieillesse aujourd’hui, tout cela en écho à son livre L’Avancée en âge.

Une grande page est consacrée à L’Avancée en âge dans le journal Riviera-Chabalais de la semaine du 23-29 novembre. «L’empathique sexagénaire traite de sujets que l’on aborde peu comme si l’on préférait ne pas trop se pencher sur cette période de la vie, même si elle nous concerne tous».

Le quotidien La Liberté , sous la plume de Thierry Raboud, a publié un bel article consacré à Vanité, de Reynald Freudiger: «Avec quel heureux ébahissement on découvre la profondeur de cette Vanité […], roman que sa maîtrise formelle, sa justesse de ton et sa qualité d’écriture imposent parmi les plus recommandables de cette année littéraire romande.»

L’Illustré consacre un article à Raymond Vouillamoz et évoque son dernier roman intitulé L’odrre n’a pas d’ipmrotncae, qui offre une vision du monde à travers deux héroïnes.

Michel Audétat, dans Le Matin, évoque le roman d’Alain Bagnoud, L’Amant de la déesse Lune. «Le roman brosse un portrait de groupe: une petite bourgeoisie culturelle qui rumine ses désillusions. La satire est au fond plutôt douce; Alain Bagnoud ne semble pas dénué de tendresse pour ces semi-ratés qu’il réunit autour d’un mort.»

Dans Bon pour la tête, un article signé Jacques Pilet est consacré au livre de Shemsi Makolli: Déesses profanées: «Persuadé que mieux valent les mots suspendus entre la réalité et l’imaginaire, entre le souvenir et l’oubli, entre les douleurs enfouies et les sentiments de culpabilité des témoins impuissants, proches ou éloignés. (Shemsi Makolli) donne corps à cette conviction avec pudeur et crudité dans des pages que l’on parcourt une fois, que l’on reprend ensuite et qui ne nous quittent plus.»

Un portrait consacré à Alice Bottarelli est à découvrir dans le 24 Heures à l’occasion de la sortie de son premier roman, Les Quatre Sœurs Berger distingué par le Prix George-Nicole 2022.

Sur le site de la RTS un article est également consacré à ce roman «dont les thèmes parfois graves s’accompagnent volontiers d’un rire libérateur, (et qui) en démontre tout le potentiel dans le champ de l’imaginaire.»

À lire sur Arcinfo, un article sur le dernier livre de Grégoire Müller, Les Démons de Muratu, ainsi que sur sa dernière exposition.

Un article de Francis Richard est à lire sur le dernier opus de Michel Moret, Le vieil homme et le livre.
Sur le site de Gauche Hebdo, Pierre Jeanneret  décrit ce livre comme «attachant, à la fois profond et léger qui, tel l’un de ces poèmes d’Aragon qu’affectionne Michel Moret, se déguste comme un bon cru.»
À lire enfin, cette fois-ci sur Domaine public, un article consacré également au livre de Michel Moret.
Découvrez également le grand entretien de Michel Moret dans l’émission «La vie à peu près» sur Espace 2.

Un article enthousiaste de Thierry Raboud est à lire dans La Liberté sur le dernier ouvrage de Christophe Gaillard: La glorieuse imposture.
À lire dans Le Courrier, ainsi que sur le site  Bon pour la tête deux articles sur ce roman.
À découvrir enfin, une chronique de Jean-Michel Olivier qui parle de La glorieuse imposture comme de «l’un des livres les plus forts et les plus aboutis de ce début d’année»!

À lire dans l’édition du Temps du samedi 21 août, une chronique signée Jean-Bernard Vuillème à propos du livre de Françoise Matthey: Feux de sauge, décrit comme «un texte puissant et poétique (dans lequel l’auteure) fait flamber sa mémoire en temps de confinement».

À lire dans l’édition du 24 Heures du samedi 12 octobre, une critique à propos du livre de Philippe Dubath: Chroniques du merle bleu.