Description
Editorialiste, historien et essayiste parmi les plus marquants de son temps, Alexandre Adler s’est entretenu à plusieurs reprises avec Jean-Christophe Aeschlimann, dans une sorte de tour du monde captivant des pays et des continents, entre l’ancien monde finissant et le nouveau qui se lève. De l’Asie aux Amériques, en passant par la Russie, l’Inde, l’Afrique, l’Australie, l’Europe, le Moyen-Orient, la Turquie et l’Iran, Israël, l’Engadine et Sils-Maria, des bribes de messianisme s’y révèlent, un autre nom de l’espérance, du souvenir de l’espérance et de l’espérance du souvenir. Alexandre Adler, qui connaît aussi bien l’Amérique que l’Union soviétique, dit dans ce livre sa vision du monde et des choses, et parle pour la première fois de son père, qui fut toute sa vie agent soviétique. Il lève un voile sur Vladimir Poutine, fils de Yakov Broverman, chef du contre-espionnage soviétique de 1943 à 1945 et adopté ensuite comme son fils par Youri Andropov. Il évoque aussi l’Engadine et Sils-Maria, dans le souvenir d’Anne Frank qui y séjourna et où s’exprime une vision du bonheur et d’une utopie encore à venir. Des histoires extraordinaires, à verser au dossier des changements qui s’annoncent dans le monde et quelques révélations sur fond de l’histoire comme révélation.
Editorialiste et rédacteur en chef, J.-C. Aeschlimann a travaillé au sein de plusieurs titres de la presse suisse, à Genève, Lausanne, Zurich et Bâle. Il a publié de nombreux éditoriaux, articles, entretiens et reportages. Il a été membre du Conseil de Fondation de Pro Helvetia, à Zurich. Né à Bienne, il a étudié l’histoire et la littérature à l’Université de Genève, ainsi que le management aux Universités de Bâle et de Saint-Gall. Il travaille aujourd’hui dans la Corporate Communication, et écrit durant ses loisirs sur le hockey sur glace suisse et nord-américain.