Description
«Les poèmes d’amour devraient être remboursés par les caisses maladie. Ils nous font nous sentir moins seuls. Tes Passions sont trois suites qui prennent par la main et qui consolent. Elles nous rappellent qu’on a le droit et même l’obligation d’être fou et lucide à la fois. Naïf et cynique. Il faut les lire, ne serait-ce que parce que la raison les condamne. Et finalement, elles prônent bel et bien la fidélité et le mariage. Mais la fidélité avec soi-même, et le mariage avec la race humaine tout entière.»
Préface de Claude-Inga Barbey